L'encyclopédie du CIEL
[En construction]
A titre indicatif, et afin de vous aider dans le RP, voici ici une série de choses à savoir sur l'univers du CIEL.
Inutile de vous dire que ces informations sont là pour le joueur et non pour le personnage. Le personnage N'EST PAS AU COURANT de ce qui est écrit ici, il l'apprendra dans sa quête ou élucidera les mystères non résolus.
Attention, je tiens a préciser que tout ici est la propriété de l'administratrice fondatrice Estel/Hisai. Vous n'avez pas le droit de prendre ses idées pour des fins personnelles. Je vous serai gré de demander si vous souhaitez vous inspirer du forum pour autre chose : j'ai eu assez de plagiat comme cela.
Ceci est un récit synthétique, les détails ne s'y trouvent pas.
I/ L'université de C.I.E.L
C.I.E.L. ou Centre International d'Études Libres, est une faculté universitaire qui est, d'apparence, tout à fait normale. Si ce n'est, bien sûr, sa taille et son architecture. Elle a la superficie d'un village et est protégée par de somptueuses murailles de marbre.
Le portail d'entrée au C.I.E.L. est en acier recouvert d'or. De part et d'autre de ce portail sont posées deux statues de femmes, les Vertus. La Liberté à gauche et la Justice à droite. Sur le dessus du portail se trouvent cinq statues.
- La première est assise sur le pilier gauche. C'est une femme qui porte et soulève un gobelet de sa main gauche alors que le serpent sur ses épaules essaie de l'attraper. Cette femme se nomme Antigone et est la Nôme fondatrice de la faculté de médecine.
- La seconde est un garçon d'une vingtaine d'année, assis non loin de la femme il a les pieds qui pendent au dessus de ceux qui passent sous le portail, il les montrent du doigt d'un air curieux et tient dans sa main une sorte de télescope. Ce garçon est le jeune Ambroise, nôme fondateur de la faculté des sciences.
- La troisième est une femme assise au centre du portail, elle ne prête aucune attention aux visiteurs car elle est plongée dans une encyclopédie, elle montre juste le ciel du doigt comme pour demander à ce qu'on la laisse en paix. C'est Enael, nôme fondatrice de la faculté de philosophie & lettres.
- Les deux derniers personnages sont debout, c'est un homme et une femme. La femme a les cheveux au vent, elle tient dans sa main une balance et ses yeux sont bandés par un tissu, l'homme lui est droit et fier et porte un coffret d'or. Il s'agit d'Isaac, fondateur de la faculté d'économie et de Lysée, fondatrice de la faculté de droit.
Après cette anecdote concernant l'architecture, passons à la répartition des bâtisses :
Le C.I.E.L se répartit comme suit :
Face au portail se trouvent les bâtiments administratifs, le bureau du directeur et du co-directeur,... Ensuite, les quatre facultés sont disposées de part et d'autres.
A l'Ouest, c'est la fac de Philosophie, Lettre et Médecine ; à l'Est, c'est celles de Science et de Droit & Economie.
Au centre se situe le parc, et les bâtiments les plus au nord sont ceux campus : à savoir les logements, les appartements des professeurs, l'Altaïre...
La tour de Maîtrise du lueur se trouve à l'extrême Nord.
Un peu d'histoire à présent. Le C.I.E.L a été fondé par cinq Nômes, cités ci-dessus il y a maintenant près de vingt siècles. Il fut rénovée sous le « règne » du directeur Noah Craft il y a deux siècles, et c'est à ce moment-là que le portail fut placé.
Quand les cinq Nômes posèrent les premières pierres de leurs facultés respectives, ils avaient alors pour but de diriger chacun de leur coté leurs écoles. Mais, trois générations plus tard, tout a mal tourné et des rivalités encore bien présentes aujourd'hui ont trouvé leurs terreaux de développement. C'est le cas pour la fac de sciences et celle de philosophie.
C'est suite à cela qu'Altaïre Sylmeria fut choisi pour diriger non pas une mais toutes les facultés du C.I.E.L ; il devint ainsi le premier directeur officiel et l'Altaïre fut construit en son nom et en sa mémoire. On l'a retrouvé mort dans son bureau seulement dix ans après le début de son "règne".
Aujourd'hui, on ignore s'il existe encore des descendants des cinq fondateurs du C.I.E.L et si c'est le cas, sans doute n'ont-ils plus que 1/10, voir un 1/100ème de sang Nôme en eux.
II/ Le monde des rêves
Le monde des rêves est un monde dans lequel vivaient jadis les Nômes. Ils tissent toujours pour les humains les rêves les plus beaux. On dit qu'au début des temps, les cauchemars n'existaient pas car les Nômes étaient cléments et aimaient les Hommes. Mais très vite, alors que beaucoup s'approchaient des humains peu à peu, d'autres se mirent à jalouser leurs libertés et discrètement ils injectèrent à leurs toiles des songes de sang et de monstres.
Cette pratique fut à l'époque condamnés par les Nômes et quiconque fut surpris à faire cela se voyait être dépourvus de ce qu'il avait de plus précieux : son privilège d'habiter le monde des songes ; ils furent bannis de celui-ci.
L'anecdote dit que l'unique tableau se trouvant dans le bureau des maîtres du Lueur est celui du châtiment d'Agaeis, ce Nôme qui, à lui seul, congédia les traîtres sur terre en leurs arrachant leur âme. Cette peinture représente un homme en poussant un autre dans le vide, une main tirant vers lui un épais tissu rouge sang. Cela explique sans doute la raison pour laquelle aujourd'hui, des descendants mal intentionnés se trouvent dans le C.I.E.L.
Le lien entre le monde des rêves et celui des vivants fut créé en même temps que le C.I.E.L, car le CIEL est le lien qui les relie. Le sceau qui le scelle est, paraît-il, gardé par le directeur lui-même. Si ce sceau est rompu, l'irréel se déversera dans le réel et vice-versa. La panique que cela engendrerait n'aurait aucun précédent et même une vision d'apocalypse serait moins catastrophique.
Beaucoup de Nômes ont polémiqué sur ce sujet. Certains s'accordent à dire que l'humain se voile tellement la face qu'il ne verra nulle différence. D'autres, et c'est sans doute eux les plus réalistes, pensent qu'un être humain est capable de tout pour un rêve. Il va sans dire que les Nômes chassés à l'époque sont de ceux qui veulent, à charge de revanche, briser le sceau.
Pour accéder aux mondes des rêves, il faut pour cela être dans le C.I.E.L. et franchir les portes marquées du symbole de l'université. La porte est condamnée dès que la personne y est entrée, et pour la rouvrir, il faut être muni de la clé qui est remise à chaque élève après son examen de maîtrise du Lueur.
Le monde des rêves est une entité vivante. Quand les Nômes ont décidé de partir sur terre vivre avec les humains, ils décidèrent d'offrir au monde des rêves sa liberté, à lui qui fut toujours conditionné et régi par eux. Ainsi, ce monde autrefois complètement dominé par les Nômes devint bien plus autonome, au point que parfois, il puisse se protéger de ses anciens propriétaires.
Ainsi, le monde des rêves a le droit de réagir face à ses visiteurs, il peut leur provoquer peurs et angoisses les plus folles s'ils n'y sont pas préparé. C'est pour cette raison qu'un cour de maîtrise du Lueur est obligatoirement dispensé à tous ceux souhaitant s'y rendre. Non seulement l'étudiant doit être formé physiquement à une telle transition mais doit en plus faire face psychiquement à ce que lui réserve le monde des rêves.
II-1 / Le changement d'apparition Rêve/RéelUn Nôme ou un descendant de Nômes qui se rend dans le monde des rêve n'a pas l'apparence qu'il a dans la vie réelle. Elle peut traduire plusieurs choses.
- Un rêve enfoui en lui.
- Sa réelle personnalité
- Un complexe
- Une souffrance
Mais il peut aussi tout simplement être lui même, et à cette unique condition, il ne change pas.
Le réel a rarement conscience de l'irréel. Ainsi, l'étudiant n'a pas conscience de ce qu'il est dans les rêves, sauf dans de rares exceptions. Par exemple le fait de rêver de son entité irréelle n'est pas impossible, comme il n'est pas impossible non plus qu'un enfant né dans une famille ayant conscience de ce qu'elle est n'ait pas été formé à cela par ses parents. Dans les autres cas il est difficile de se définir en rêve.
L'entité irréelle ne peut pas intervenir dans le réel si son homologue est éveillé. Même dans C.I.E.L., cela est difficile, le sceau est fermé, ne l'oubliez pas. Le sommeil est le seul lien entre eux.
II-2 Disparition dans le monde des rêves.Si une personne vient à malheureusement disparaître dans le monde des rêves c'est-à-dire si son entité irréelle vient à mourir, alors son corps se désintègre dans le monde réel et les souvenirs de lui, ainsi que toute trace de son existence, disparaissent comme s'il... n'avait jamais existé.
Car c'est bien le terme. Une personne morte dans un rêve n'est qu'un songe, toute trace de sa réalité disparaît à jamais et il ne laisse aucun souvenir à personne.
Ce processus d'effacement des mémoires met des mois, voire des années, avant d'être complet. Certains disent même que ceux qui tiennent trop à la personne et qui l'ont vue mourir peuvent lutter contre cet effacement en buvant des potions au Ginko et autres plantes qui permettent de conserver la mémoire. Ce n'est malheureusement que légende, car personne n'a réussi à dire si cela marchait ou pas.